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The Korea Foundation is pleased to invite qualified doctoral students majoring in Korean/East Asian art to participate in the “2019 Korean Art Workshop for Graduate Students” which will be held from July 7-14, 2019 in Seoul, Korea. The Workshop will bring together graduate students majoring in Korean art or East Asian art by providing with opportunities to attend lectures on Korean Art and to have field trips related to the Workshop theme.

Program Overview(Tentative)

– Title: 2019 Korean Art Workshop for Graduate Students-

Date: July 7-14, 2019

– Venue: Seoul and other regions, Republic of Korea

– Host organization: The Korea Foundation- Attendees: Up to 30 people

– Workshop theme: Arts of Ancient Korea- Program: The Workshop will consist of lectures and field trips

– Language: Korean/English (Interpretation provided)

Program Eligibility

Graduate students who fulfill the following criteria:

– Graduate students who are currently undertaking coursework at a university on a subject related to Korean/East Asian art.

– Research fellows holding a doctoral degree earned within the past three years on a subject related to Korean/East Asian art;

– Assistant curators with MA degree and less than 5 years of experience in Korean/East Asian art.

– Hold foreign nationality (Applicants should have non-Korean citizenship. Korean citizens must havepermanent residency status in a country outside Korea.)

※ Depending on the number of qualified applicants, the Korea Foundation reserves the right to grant priority to students who have completed their coursework and have not visited Korea in the past five years.

Details of Support

– Economy-class round-trip airfare to Korea

– Accommodation(Check-in: July7 /Check-out 14, 2019 )

– Meals, and ground transportation during the workshop period

Program Schedule

  1. Application Period: April 29, 2019 9 a.m. to May 13, 2019 6 p.m. (KST)
  2. Notification of Results: May 20, 2019

※ Please note that the notification date is subject to change without prior notice. Applicants will be notified about the result individually via email.

Pour plus d’informations, voir le KF Application Portal. 

LE CLUB THEATRE DU DEPARTEMENT D’ETUDES CORENNES DE l’INALCO

ORGANISE UNE REPRESENTATION

Le 6 mai 2019  à 18h30,  à l’Auditorium de l’INALCO

65 rue des Grands Moulins 75013 Paris

악마는 어디에 (Le diable partout)

Dans la vie, le diable se trouve partout. Une victime d’harcèlement scolaire ne peut pas trouver refuge chez elle. Des jeunes à la recherche du bonheur n’arrivent plus à croire en l’amour. La foi est utilisée pour manipuler les autres. Une femme ne peut pas exercer la même activité qu’un homme… Les quatre courtes pièces de théâtre regroupées sous le titre « le diable partout » nous montrent comment le démon s’enracine dans nos vies…

Le spectacle sera interprété entièrement en coréen par dix étudiantes de L1 et de L2 du département d’études coréennes de l’INALCO.

Mise en scène : HONG Sora

Interprétation : Aliya GTARI, Sibel DAG, Alyssia GUILLEMOT, Aniela M’BENGUE, Sonia PRISO-YAYA, Sadani KALUWADEVAGE, Anne RAVEAU-DEGOSSE, Audeline ZALI, Coralie JEANNOT, Ana RAVEL

(durée : 1 heure environ)

Pour plus d’informations, voir le site de l’INALCO. 

Le retour de printemps apporte d’excellentes nouvelles qui augurent un avenir prometteur pour le RESCOR. Nous nous réjouissons d’apprendre que le Réseau s’est vu attribuer la possibilité de postuler à un troisième mandat. La suppression de la limite du nombre de mandats est le résultat d’efforts poursuivis par le RESCOR mais aussi par l’action du gouvernement sud-coréen, notamment la visite de la vice-première ministre à l’université Paris Diderot en décembre 2018. En vue de préparer une nouvelle candidature à partir de février-mars 2020 et à la demande du KSPS, le Réseau prévoit d’organiser entre novembre et décembre 2019 un atelier dressant le bilan de dix ans d’activités de recherche et d’enseignement en études coréennes en France. Il va s’en dire que l’avenir du RESCOR dépend de la réussite de cet atelier.

Le Réseau se réjouit d’annoncer plusieurs nouvelles publications. D’abord, celle de Guillaume Carré pour son ouvrage Avant la tempête : la Corée face à la menace japonaise 1530-1590, paru dans la collection Kalp’i du Collège de France en mars 2019. Nous avons également publié l’interview de Li Jin-Mieung ainsi que le compte-rendu de Kim Jin-Ok pour son « Retour de mission à Abidjan 2018 ». Un nouvel appel d’offre de bourses pour les masters, doctorats et post-doctorats a été lancé. Nous avons publié deux compte-rendu de recherches et attendons d’autres retours de terrain. 

Les manifestations n’ont pas manqué en cette période. Comme à chaque printemps, la Journée de la Corée a eu lieu le 29 mars à l’UPD et le 16 avril à l’INALCO. Avec un programme riche et varié (projection de court-métrages réalisés par les étudiants, concours de poésie, conférences-débats, animation de jeux, etc.), l’édition de cette année a été particulièrement applaudie par un public venu nombreux, ce qui atteste de la réussite de l’événement. Nous saluons les étudiants organisateurs de l’INALCO et de l’UPD pour leur belle initiative.

Eunsil Yim
 
Membre du Réseau des Études sur la Corée
 
Maître de conférences à l’Université Paris Diderot
 

L’île de Jeju est située à l’extrême pointe sud-ouest de la péninsule coréenne. Elle abonde en mythes, légendes et épopées chamaniques. On y recense 18 000 divinités et 346 sanctuaires, dont 68% sont consacrés à des déesses. Sur cette île battue par les vents, où la vie est particulièrement dure, les femmes ont toujours joué un rôle important.

La représentation symbolique de ces femmes de Jeju est la « femme de la mer », la plongeuse (jamnyo ou haenyo). Ces plongeuses prennent de grands risques tous les jours. Elles se retrouvent au petit matin au bord du rivage pour entrer ensemble dans la mer, lestées de ceintures de plomb. Elles répètent ce rituel une quinzaine de jours par mois, plongeant en apnée au péril de leur vie et restant dans l’eau entre 4 et 7 heures d’affilée à la recherche de produits de la mer (haliotis, conques, etc.) pour subvenir aux besoins de leurs familles.

Cette conférence de l’anthropologue Ok-kyung PAK, centrée sur le livre qu’elle a consacré aux plongeuses de Jeju, permettra au public français de mieux appréhender, à travers l’étude d’un système de parenté fondé sur l’échange, de la vie communautaire et des valeurs sociales et économiques des jamnyo, une société « centrée sur les femmes ». Une société où les pratiques chamaniques des plongeuses en l’honneur de la déesse de la mer qui leur offre sa protection coexistent avec l’influence du néo-confucianisme venu du continent. Par ailleurs, cette conférence permettra aussi, malheureusement, de prendre la mesure du déclin d’une activité traditionnelle, déclin causé par le développement industriel et la pollution des océans. Pour plus d’informations, voir le site du Centre Culturel Coréen

Le concours, organisé conjointement par le Centre Culturel Coréen et l’Institut Coréen de la Traduction Littéraire, s’adresse à tous les lecteurs francophones.

• Oeuvre choisie : L’Étoile du chien qui attend son repas de Hwang Sok-yong, parue chez Serge Safran Éditeur.
• Les candidats devront rédiger un texte personnel – compte rendu, note de lecture, commentaire – faisant part des impressions et réflexions suscitées par la lecture de l’ouvrage (longueur maximum du texte : 15.000 signes espaces compris).
• Tous les textes devront être envoyés par courrier ou courriel au Centre Culturel Coréen avec les coordonnées du candidat – adresse postale, adresse E-mail, numéro de téléphone – avant le 21 septembre 2019 :
-  par courrier, au Centre Culturel Coréen, 2 avenue d’Iéna, 75116 Paris
-  par courriel, à concourslitteraire@coree-culture.org (un accusé de réception vous sera envoyé)
• Les textes seront examinés par un jury composé de critiques littéraires et d’universitaires. Ses décisions sont sans appel.
• Le concours est doté de plusieurs prix
-  1er prix : 1 billet d’avion AR Paris-Séoul
-  2ème prix : carte-cadeau 300€
-  3ème prix : carte-cadeau 200€
• Les lauréats seront avertis par courrier du résultat du concours et une cérémonie de remise des prix aura lieu au Centre Culturel Coréen début novembre 2019.

Informations au 01.47.20.83.86

Pour plus d’informations, voir le site du Centre Culturel Coréen

 

L’école doctorale ED3C organise un concours 2019 pour l’attribution de bourses de doctorat: http://ed3c.upmc.fr/index.php/contrats-doctoraux-fr


David NICOLAS, chargé de recherche à l’Ecole Normale Supérieure, recherche un.e candidat.e coréen.ne diplômé.e de master en linguistique, psychologie expérimentale ou économie expérimentale pour le sujet suivant: http://ed3c.upmc.fr/Contrats/rsForm_affiche_projet.php?id=352

L’ensemble du projet concernera désormais les locuteurs bilingues coréen-anglais ou coréen-français, y étudiant l’influence de l’omission des pronoms et celle des termes d’adresse dans certains jeux économiques. (Le projet ne portera donc plus en partie sur le Hindi.)

Si vous êtes intéressés, merci d’envoyer votre CV à david.nicolas@ens.fr d’ici au 15 mai 2019.

Veuillez noter les étapes suivantes de la candidature pour le ou la candidat.e retenu.e sur le sujet ‘Does language influence economic behavior?’:

– 3 juin 2019: date limite d’acte de candidature individuelle sur le site de l’ED3C

– 27 juin 2019: sélection par le Conseil de l’ED des candidats admissibles à l’oral

– 3-5 juillet 2019: audition et classement des candidats par le jury de l’ED3C

 

« Une journée du romancier monsieur Kubo » par Pak T’aewôn
traduit du coréen par Patrick Maurus
UGA Éditions, janvier 2019, 128 p.
ISBN : 978-2-37747-021-1
Présentation

Dans le Séoul de 1934, en pleine occupation japonaise, Kubo parcourt sa ville à la recherche d’inspirations, de rencontres, de sens, de bonheur. Cette errance s’accompagne d’une réflexion plus profonde sur lui-même et sur cette jeunesse qui se construit et se modernise avec le Japon comme nouvelle référence.

Une journée du romancier Monsieur Kubo
est un texte fondateur de la littérature coréenne moderne puisqu’il traduit un besoin de rupture qui se manifeste dans l’écriture même, altérant ponctuation, rythmes et grammaire. Ces « étrangetés » stylistiques ont été préservées dans cette traduction de Patrick Maurus, afin de comprendre comment l’auteur Pak T’aewon bouleverse les codes littéraires de l’époque. d’UGA ÉditionsPour plus d’informations, voir le site d’UGA Éditions.

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS