« Bari à Paris »

« Bari à Paris »
Mesdames et Messieurs, chers collègues,
J’aimerais attirer votre attention sur notre premier atelier international de recherche sur la translocation des objets chinois, japonais at coréens à l’Europe. Il aura lieu cet automne le 8 et 9 novembre au Musée d’art asiatique de Berlin (Museum für Asiatische Kunst, Staatliche Museen zu Berlin) en coopération avec l’ University of Glasgow. Vous trouverez ci-joint l’appel à contribution.
Les propositions de conférence peuvent être soumises jusqu’au 15 juin.
Nous serions ravis de vous y accueillir car nous sommes particulièrement intéressés à un échange avec des collègues français. Nous vous serions également reconnaissants de bien vouloir transmettre notre appel à communications à vos collègues intéressés.
Veuillez agréer, Mesdames et Messieurs, mes salutations distinguées
Christine Howald.
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Dr. Christine Howald
TEAA – Tracing East Asian ArtResearch Area “Art Market and Provenance”
Technische Universität BerlinInstitut für Kunstwissenschaft und Historische Urbanistik
Sekretariat A 56
Straße des 17. Juni 150/152
D-10623 Berlin
+49 (0) 30 314 25012.
Out now:Acquiring Cultures. World Art on Western Markets, ed. by Bénédicte Savoy, Charlotte Guichard and Christine Howald, Berlin/Boston (DeGruyter) 2018.
Journal for Art Market Studies (2/3 2018)
‘Asian Art: Markets, Provenance, History’
Guest Editors: Alexander Hofmann and Christine Howald.
Les recherches sur le mariage et la famille au Japon, en Chine et en Corée du Sud se focalisent souvent sur la seule histoire de l’institution et sur la mesure de la nuptialité (âge au mariage, célibat définitif) et des différents records démographiques de ces pays d’Asie: très faible fécondité, vieillissement démographique rapide et célibat important, rôles de genre relativement figés au sein de la cellule familiale nucléaire, ainsi que sur les certains écarts notables entre ces pays (sex-ratio, mariages internationaux, démographie).
Dans le cadre de cette journée d’étude, nous nous proposons d’aborder des perspectives renouvelées sur le mariage et la famille, mêlant analyse du cadre juridique du mariage, histoire sociale et politique, anthropologie de la famille. Cette journée d’étude cherche à soulever le voile sur des réalités contrastées en Asie et à comprendre le contexte social, anthropologique et culturel de toute l’économie de la rencontre conjugale. Par ailleurs, nous voulons à travers cette occasion achever à créer un dialogue entre les trois pays de l’Asie Orientale autour de la question du mariage et de la famille.
Comité d’organisation :
Aline HENNINGER (Université Paris Diderot)
HOU Renyou (Inalco)
KIM Kyung-mi (Université Paris Diderot)
Un colloque intitulé :
« Various Perspectives on The Zhouyi 周易 and Jeong Yak-yong 丁若鏞 (1762-1836) »
aura lieu
les 27 et 28 mai 2019 à partir de 9h
à l’Université Paris-Diderot, Amphithéâtre Turing, Bâtiment Sophie Germain, Niveau -1.
L’adresse est : 8 place Aurélie Nemours 75013 Paris.
Toute présence est la bienvenue.
Contact : stephane.feuillas@gmail.com
Le CNRS et la NRF lancent un appel à projets pour promouvoir des coopérations entre des unités affiliées au CNRS et des laboratoires coréens dans tous les domaines de recherche. Cet appel bilatéral est réservé à la mobilité des chercheurs. Les échanges s’effectuent dans le cadre d’un projet de recherche de 2 ans déposé conjointement. Les partenaires coréens doivent impérativement soumettre le même projet et dans les mêmes délais auprès de la NRF. La participation de jeunes chercheurs est fortement encouragée. L’existence de co-publications entre les deux responsables du projet est un atout.
Le montant de référence accordé par le CNRS aux projets sélectionnés pour 2 ans est de 7 000 € annuellement.
Nombre de dossiers retenus : 3 projets par an
Modalités de soumission
Les chercheurs ou enseignants-chercheurs rattachés à une unité du CNRS déposent leur candidature en utilisant le formulaire en ligne sur l’application Coopinteer : https://www.cooperation.cnrs.fr
Aucune autre procédure de dépôt ne sera prise en compte. Seuls les dossiers comportant le visa du Directeur d’unité seront évalués. Le Directeur d’unité validera en ligne le dossier avant le 14 juin 2019 (minuit heure de Paris), en utilisation le mot de passe Labintel Administrateur de l’Unité.
La 7eme édition du Festival K-VOX / Voix Coréennes aura lieu les 6, 12 et 14 juin 2019 à Paris.
1. La préparation de l’AKSE
J’ai répondu à l’appel à communication pour la 29ième conférence de l’AKSE (The Association for Korean Studies in Europe) en août 2018 avant même mon inscription officielle en doctorat en octobre 2018. L’acceptation de mon abstract (ces quelques centaines de mots qui permettent, ou non, ma participation à l’événement) a été à la fois une belle surprise et la prise de conscience de mon entrée dans ce fameux monde académique, avec l’inquiétude qui l’accompagne. Après cette première étape franchie, il me fallait revenir sur un texte écrit des mois plus tôt et se voulant quelque peu ambitieux pour ma future personne, en charge de compléter mes recherches sur le sujet.
J’ai finalement rédigé la version complète de ma présentation intitulée « Contemporary Korean Society through the Lens of Humour : A Study on the Works of Chŏn Myŏnggwan ». Ma première intention avait été de la rédiger en français, car il s’agit d’une des quatre langues officielles de la conférence et j’avais naïvement pensé qu’elle était effectivement employée lors des échanges. Après avoir été rappelée à la réalité, je me suis tournée vers l’anglais, qui est davantage utilisé.
La préparation à la conférence se fait donc selon plusieurs étapes : d’abord l’envoi de l’abstract, puis, s’il est accepté, le paiement d’une partie des frais de participation, l’envoi du texte complet de la présentation, l’obtention d’un financement et de billets.
2. La participation à la conférence
La conférence de l’AKSE réunit tous les deux ans les membres de l’association autour de panels de recherches étendus sur trois jours. Dans ce cas, quatre panels se déroulaient en même temps dans des salles distinctes, englobant un ensemble très large de disciplines.
Ma présentation était prévue pour le samedi 13 avril, et les présentations s’étendaient du vendredi matin au dimanche midi. L’ouverture de la conférence a été ponctuée par les discours des différents organisateurs, suivi d’un récital de piano et d’un buffet inaugural permettant aux chercheurs réunis ici de se retrouver dans ce qui est de l’ordre du rituel. J’ai eu la chance d’être accompagnée dans cette aventure par Suzanne Peyard, autre doctorante au sein du CRC, qui a été d’un soutien indéfectible.
Le vendredi a été consacré à l’écoute de différentes présentations, telles que « cinema, democracy and the cultural cold war in Korea » ou « The con artists, the maids, the singers and the hygienists : refiguring life in late 1960s-1970s South Korea ». Les présentations étaient indistinctement tenues en anglais ou en coréen et toujours suivies d’un temps de discussion avec le public.
Le samedi était le jour où Suzanne et moi passions notre baptême du feu. J’ai commencé par assister à la présentation de ma camarade qui, au côté de sa directrice Valérie Gelézeau, parlait de « Songdo, moving scales of a mega-project in the making : digitalized power and the fabric of a new residential space », puis je me suis préparée pour mon passage en début d’après-midi. Il faut savoir que la grande majorité des interventions sont organisées sous la forme de panels et, qu’à ma connaissance, seules deux sessions réunissaient des individual presenter, souvent des positions occupées par des nouveaux doctorants de l’association.
Ma session : « Korean Literature and society | economics », était composée d’une présentation sur « the leader as a rhetorical space » dans les romans nord-coréens de 1960 à 1990, d’une autre sur l’« entrepreneurship » en Corée du sud et, enfin, de mon intervention sur le rire dans une nouvelle de Chŏn Myŏnggwan. Malgré l’écart qui existait entre nos différents sujets, nous avons réussi à établir un dialogue à la suite de nos interventions qui a mis en lumière des échos entre nos recherches. C’est pour moi la véritable réussite de ce moment. En effet, en tant que nouvelle doctorante à l’AKSE et individual presenter, tout comme les deux autres doctorantes de ma session, il n’était pas évident que nous réussissions à conserver notre public. Car, s’il y a quelque chose de frappant dans cette rencontre internationale, c’est sans doute la mobilité du public (constitué souvent des participants eux-mêmes), qui se déplace de salle en salle non seulement entre les panels, mais aussi entre les présentations individuelles.
Après ce passage éprouvant, mais réellement stimulant du point de vue des échanges et des rencontres vécues, la journée s’est terminée par un aperitivo à l’Italienne et un dîner qui ont été l’occasion d’envisager avec un peu plus de sérénité la fin de la rencontre et de croiser les chemins de quelques professeurs dont le nom résonne avec des ouvrages ou articles qui ont pu influencer l’avancée de mes recherches.
3. Retour d’expérience.
Alors que l’AKSE se terminait le soleil de Rome a été une invitation irrésistible à quelques ballades dans le centre historique de la ville et l’occasion de revenir sur ces trois jours certainement intenses passés à l’hôtel Quirinale. La conférence avait une atmosphère conviviale que même une novice de ce type d’évènement a pu percevoir. Le monde des recherches en études coréennes est certainement dynamique et vivant. L’AKSE, qui aura été ma première expérience en tant qu’intervenante dans une conférence internationale, gardera à mes yeux et probablement pour longtemps, son image symbolique de rite de passage.
Dans le cadre du séminaire Sciences et savoirs de l’Asie orientale dans la mondialisation (XVIe-XXesiècles) animé par Catherine Jami, directrice de recherche au CNRS (CCJ-CECMC), et Frédéric Obringer, chargé de recherche au CNRS (CCJ-CECMC)
donnera une conférence intitulée
« Religion de contrebande et circulation des savoirs dans la Corée du Chosŏn : Le cas du père Kim Taegŏn 金大建 (1821-1846) »
54 bd Raspail 75006 Paris
The Korean Studies Promotion Service (KSPS) was in attendance at the Twenty-ninth Conference of the Association of Korean Studies in Europe (AKSE) from April 11 to 14, 2019 in Rome and held an information session.
Roughly forty researchers from Korea and elsewhere attended this international information session. The session mainly focused on introducing the Global Korean Studies programs and included time for Q&A.
Additionally, Academy of Korean Studies President Ahn Byung-ook along with KSPS staff visitedUniversità di Roma La Sapienza, the host of this year’s AKSE conference, to discuss trends in Korean Studies in Europe and Italy during the first half of the year. Between 2013 and 2016, the Università di Roma La Sapienza was part of the KSPS Seed Program for Korean Studies, and as part of this project Korean Studies curriculum was moved out of Asian Studies and an independent Korean Studies department was established.
Also, while in Rome, KSPS staff met with researchers from the University of California, San Diego (Core University Program for Korean Studies) as well as The Hebrew University of Jerusalem and Babes-Bolyai University (Seed Program for Korean Studies) to consult about issues and difficulties in the implementation of their projects. KSPS newsletter Vol. 68
L’Université Paris-Saclay propose 120 bourses aux étudiants internationaux d’excellence pour l’année 2019-2020. Ces bourses, qui s’élèvent à 10 000 euros par an, sont attribuées sur des critères d’excellence académique aux étudiants admis dans un des 464 programmes de masters de l’université, toutes disciplines confondues, pour un ou deux ans en fonction du niveau d’admission. Les candidats doivent d’abord candidater à l’un des masters de l’université. L’université contactera directement les candidats habilités à déposer un dossier de candidature pour la bourse. La date limite des candidatures est le 13 mai 2019. Retrouvez toutes les informations sur les programmes de master de l’université ici.
DATE
La date limite des candidatures : le 13 mai 2019.
LIEU
Université Paris-Saclay
Espace Technologique, Bat. Discovery – RD 128 – 2e ét., 91190 Saint-Aubin, France
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