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Le festival projette chaque année, depuis sa création en 1995, des films coréens et a déjà invité de nombreux cinéastes, acteurs, producteurs et personnalités coréennes du monde du cinéma : Sin Songil, Lee Doo-yong, Hur Jin-hwan, Lee Myung-se, Jeon Kyu-hwan, Kim Dong-ho, etc.

La Corée du Sud sera une nouvelle fois à l’honneur au sein du festival, avec l’extraordinaire Baby Beside me, projeté en présence de son réalisateur Son Tae-gyum en compétition officielle. Seront également projetés cette année, en première française et compétition documentaires l’inédit Madame B – Histoire d’une nord-coréenne de Jero Yun, et The Bacchus Lady de Lee J-yong en avant-première française.

Source : Centre Culturel Coréen

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Cette année encore, la grande famille qu’est l’UFR LCAO en études coréennes sera réunie pour une journée consacrée à la Corée.

Avec le soutien constant des enseignants de l’Université Paris Diderot en coréen, du RESCOR et de l’AKS (Academy of Korean Studies), les étudiants ont préparé divers ateliers pour mettre en avant la culture riche du pays qu’ils étudient.

La Journée, qui se tiendra le mardi 7 février 2017, commencera dès 10h et finira à 19h30. Les étudiants de Paris Diderot auront l’occasion d’être initiés à la calligraphie et à la fabrication de nœud-coréen le matin avant de poursuivre ce parcours culturel par un atelier cuisine suivit d’un jeu, le Running Man. Ils accueilleront, par la suite, tous les étudiants et enseignants, non seulement de Paris VII mais aussi des universités environnantes, pour une projection d’un court-métrage réalisé par les étudiants de Paris Diderot qui sera suivie d’un spectacle de danse. La Journée se clôturera par un pot de fin où les étudiants et enseignants de la section coréenne seront les bienvenus.

Nous espérons que cette journée donnera un aperçu assez saisissant de la Corée pour éveiller l’intérêt de tous les participants hors section coréenne et encouragera les étudiants de la section dans leur apprentissage.

KILCI Gulsen
Étudiante en troisième année de Licence d’études coréennes à l’Université Paris Diderot

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En ce début de l’année du Coq de Feu ou du Coq Rouge (붉은 닭의 해, 丁酉年), puisse l’animal tutélaire nous éveiller dès l’aube ! Nous souhaitons à chaque participant au Réseau des études sur la Corée de conserver tout l’espoir que la nouvelle année permet de concevoir en termes de changements et d’approfondissement. Concernant le RESCOR, nous formulons tous des vœux pour que l’année qui commence devienne, dans nos activités, une année de maturité assumée. Pour cela, toutes les bonnes volontés sont sollicitées car le réseau est à notre image et le résultat de nos ambitions. Réseau à visage humain, nous sommes attentifs au devenir de ses membres : continuons de nous réjouir d’une nouvelle année prospère en matière de postes universitaires puisque Paris Diderot et l’INALCO ont programmé la création de deux nouveaux postes de maîtres de conférences en études coréennes en 2017. Nous n’en sommes toutefois qu’au stade de rééquilibrage par rapports aux études sur l’Asie Orientale car la demande sociale sur la Corée continue d’être très forte dans l’Hexagone. Quant aux départs, remercions chaleureusement notre chargée de communication, Kim Sohee, qui accompagne l’aventure du RESCOR depuis 2011, en contribuant notamment à tisser patiemment les mailles du réseau avec un dévouement remarquable, un sens aigu de la diplomatie, une patience indéfectible ainsi qu’à la rédaction décisive de nos rapports annuels grâce à sa plume experte. Nous lui souhaitons bonne chance pour la suite. Elle devrait être remplacée dans le courant de février. Remarquons, en ce mois de janvier, les améliorations apportées au site de traduction grâce à la surveillance attentive de Choi Misook, et incitons à cette occasion les participants au Réseau à utiliser cet outil de plus en plus performant pour leurs besoins pédagogiques. La traduction du coréen vers le français reste un secteur très dynamique comme en témoigne des publications récentes affichées sur notre blog, ainsi que la remarquable contribution de L’Atelier des cahiers qui a fêté ses dix ans d’existence et offre un impressionnant catalogue. Cette année, courant mars, le RESCOR sera en mesure de proposer une seconde campagne de bourses d’études aux étudiants de niveau Master et aux doctorants des établissements fondateurs. Nous les invitons à profiter de cet important rendez-vous avec le Réseau. Souhaitons encore aux anciens comme aux nouveaux participants au Réseau nos meilleurs vœux pour l’année 2017, deuxième année d’activité de RESCOR 2 !

Yannick BRUNETON
Responsable du Réseau des Études sur la Corée
Professeur des universités à l’Université Paris Diderot

Vous pouvez lire et télécharger le Bulletin n°13 du Réseau des Études sur la Corée.

Dans le cadre de séminaire pluridisciplinaire d’études coréennes

Seok-Kyeong HONG-MERCIER

(Université nationale de Séoul)

présente une conférence intitulée

« Méthodes Visuelles à l’âge de Big Data »

Vendredi 3 février 2017 de 14h00 à 16h00
Maison de l’Asie / Grand salon
22 avenue du président Wilson 75116 Paris


Résumé
Cette conférence consiste à examiner la capacité de méthodes visuelles comme une méthode de recherche qualitative valable dans l’âge de Big Data. Jamais l’humanité n’a produit autant d’images, aussi librement, aussi démocratiquement. Presque la totalité des pratiques culturelles humaines laissant des traces visuelles numériques, les sciences humaines et sociales, surtout les recherches en pratiques culturelles, doivent prendre en compte cette nouvelle donnée. Nous allons examiner vers deux directions la possibilité d’intégrer les images dans le processus de recherche en sciences humaines et sociales.

Source : EHESS

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Trésors de Corée – Bulguksa et Seokguram
한국의 문화유산 불국사·석굴암
par Okyang CHAE-DUPORGE et KANG Woobang
Editions Cercle d’Art, novembre 2016, 160 pages

 

Présentation de l’ouvrage
Edifiés au VIIIe siècle sous le Grand Silla, la grotte de Seokguram et le monastère Bulguksa, situés dans la région de Gyeongju en Corée du Sud, constituent l’ensemble d’architecture bouddhique le plus important du pays. Les photos prises par Silva Villerot et Ahn Jang-Heon, photographe renommé de ce site, mettent en évidence la beauté et la spiritualité de ce lieu qui reflète la maturité artistique, technique et philosophique d’une époque. Grand spécialiste, l’historien Kang Woobang insiste dans son texte sur le lien entre les idées et leurs expressions architecturales. Historienne de l’art, Okyang Chae-Duporge contribue au présent ouvrage par une description exhaustive de la grotte de Seokguram et met également en perspective l’art de Silla dans le contexte plus large de l’art bouddhique asiatique. C’est la première fois qu’un livre contemporain bilingue (français et coréen) enrichi de photographies inédites rend un hommage sensible à la beauté et à la cohérence de ces hauts lieux spirituels.

A propos des auteurs
KANG Woobang Actuel directeur de l’Institut d’histoire de l’art coréen Illhyang, il a également dirigé le Musée national de Gyeongju et enseigné à l’université féminine d’Ihwa. Il a publié de nombreux livres notamment «Korean Buddhist sculpture-Art and truth »(2005).

Okyang CHAE-DUPORGE est docteure en histoire de l’art. Enseignante à l’Inalco (Institut national des langues et civilisations orientales, Paris) elle est également l’auteur d’un ouvrage sur Lee Ufan à paraître aux Editions Cercle d’Art en 2017.

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Le département d’études coréennes de l’INALCO organise une conférence intitulée

« Le traitement par la presse sud-coréenne de l’affaire CHOI Soon-sil et de ses conséquences (destitution en cours de la présidente) »

Par PARK Jin-woo
(enseignant chercheur au département de communication de l’Université Konkuk à Séoul)

Jeudi 9 février 2017 de 18h à 20h
INALCO / Amphi 6
65 rue des Grands Moulins 75013 Paris

Depuis le 9 décembre 2016, Mme PARK Geun-hye fait l’objet d’une procédure de destitution. Quelques semaines plus tôt, les médias révélaient en effet l’existence de malversations et l’influence considérable d’une femme de l’ombre, amie intime de la présidente, poussant régulièrement des milliers de Coréens dans la rue pour exiger le départ de la présidente.

Dans un pays où les médias traditionnels (presse écrite et télévision) ne sont pas vraiment reconnus pour leur audace en terme journalistique, le traitement de cette affaire par les médias nationaux (chaînes publiques comme KBS et MBC et nouvelles chaînes telles que JTBC et TV Chosun) représente un vrai moment de rupture dans le paysage audiovisuel coréen.

Affiche (PDF)

Dans le cadre de séminaire pluridisciplinaire d’études coréennes

Seok-Kyeong HONG-MERCIER

(Université nationale de Séoul)

présente une conférence intitulée

« Émergence de Mukbang (Foodcasting) et la société sud-coréenne contemporaine »

Vendredi 27 janvier 2017 de 14h00 à 16h00
Maison de l’Asie / Grand salon
22 avenue du président Wilson 75116 Paris

Résumé
Mukbang (une abréviation de la radiodiffusion de la nourriture et l’acte de ‘manger’ en coréen), apporte un nouvel éclairage à la fois sur la culture alimentaire et la culture médiatique. Trahissant les normes éthiques et esthétiques propre à la culture légitime, cette nouvelle forme de communication sociale est développée dans un contexte socio-historique spécifique de la Corée : l’augmentation des ménages d’un habitant unique, la précarité aggravée de la jeunesse, et la sous-culture d’Internet. L’appropriation de cette nouvelle pratique d’internet par des médias conventionnels témoigne une nouvelle relation de force des médias.

Source : EHESS

Pages

Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS