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Le festival du film coréen à Paris revient pour une 12ème édition
du 24 au 31 octobre 2017
au Publicis cinémas

133 avenue des Champs-Elysées 75008 Paris

Habitués comme nouveaux venus seront bien accueillis pour découvrir sur grand écran, huit jours durant, le meilleur du cinéma coréen d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Au programme, A TAXI DRIVER, qui a attiré 12 millions de coréens en salles cet été, ouvrira le festival, le mardi 24 octobre à 20h, quand une semaine plus tard le film d’horreur THE MIMIC fera la clôture le soir d’Halloween.

Entre les deux, blockbusters emballants, films d’auteurs étincelants, courts-métrages ébouriffants, documentaires passionnants, classiques rarissimes, invités prestigieux, vous allez en prendre plein les yeux ! N’hésitez pas à partager l’événement et à y inviter vos amis !

Retrouvez plus d’informations sur le festival sur :

Exposition «Lee Ungno, l’homme des foules »
du 9 juin au 19 novembre 2017
Musée Cernuschi
7 avenue Vélasquez 75008 Paris

Lee Ungno (1904-1989) est l’un des peintres asiatiques les plus importants du XXe siècle, à la croisée des chemins entre l’Extrême-Orient et l’Europe, le passé et le présent.

Son abandon, dans les années 1950, d’un art traditionnel pour des formes modernes et abstraites joue ainsi un rôle pionnier dans la fondation d’un art coréen contemporain. Son intégration ultérieure dans l’avant-garde parisienne aux côtés de Hartung, de Soulages ou de Zao Wou-ki, s’accompagne d’un enseignement de la peinture à l’encre qui inspira toute une génération d’artistes.

L’exploration des relations entre calligraphie et abstraction dans les années 1970 donne naissance à un thème emblématique de son œuvre : les Foules qui constituent le symbole de la démocratie naissante en Corée du Sud. Pour plus de renseignements, consultez le site du musée Cernuschi. 

« Par-delà le Yalou : Art et archéologie du royaume de Koguryo (37av. J.-C.-668 apr. J.-C. (Chine du nord-est et Corée du Nord) »

par Ariane Perrin 

(historienne de l’art, UMR 8173 « Chine, Corée, Japon » CNRS – EHESS)

Du 30 novembre au 14 décembre 2017
Maison de l’Asie / Salle de conférence du rez-de-chaussée

22 avenue du président Wilson 75116 Paris

Jeudi 30 novembre 2017 (17h-18h45) – Les vestiges du Koguryo : cités fortifiées, palais, monastères et tombes

Lundi 4 décembre 2017 (17h-18h45) – Voyage vers l’au-delà : l’art narratif dans les tombes peintes du Koguryo

Jeudi 7 décembre 2017 (17h-18h45) – La statuaire et la peinture bouddhiques

Lundi 11 décembre 2017 (17h-18h45) – La stèle du roi Kwanggaet’o (r. 391-413) : mythe d’origine et guerres de conquête dans la péninsule

Jeudi 14 décembre 2017 (17h-18h45) – Les dernières fouilles archéologiques en Corée et dans le nord-est de la Chine

Modalités d’inscriptions : Inscription préalable obligatoire. Deux formules sont proposées : vous pouvez suivre l’intégralité d’un cycle (demi-cycle pour 3 cours ; cycle entier pour 6 cours) ou sélectionner la conférence qui vous intéresse à l’unité. 

Tarifs

Adhérent : Cycle complet (6 cours) 78€ ; Demi-cycle (3 cours) 39€ ; Unité 14€

Non-adhérent : Cycle complet (6 cours) 90€ ; Demi-cycle (3 cours) 45€ ; Unité 16€ 

Étudiant ou chômeur : Cycle complet (6 cours) 20€ ; Demi-cycle (3 cours) 12€ ; Unité 4€

INSCRIPTIONS  AU
Tél. : 01 53 70 18 77

BULLETIN D’INSCRIPTION 

 

Journée d’études

« De la comparaison à la compréhension : explorer la diversité dans les études bouddhiques »

12 octobre 2017
Sorbonne / Salle D059 (escalier E – 1er étage)

17 rue de la Sorbonne 75005 Paris

Matinée (9h15–13h) :

Bernard Faure (Columbia University)

Visions chinoises et japonaises du bodhisattva Mañjuśrī

Yannick Bruneton (Université Paris Diderot)

Usages comparés de la référence à maître Yixing (683-727) dans les écrits chinois et coréens de l’époque prémoderne

Vincent Durand-Dastès (Inalco)

A trois têtes et six bras : Avatars de la divinité tantrique dans les religions chinoises, du taoïsme au bouddhisme, du rituel à la littérature

Après-midi (14h–17h30):

John Holt (Bowdoin College)

Narratives of Siege: Understanding an Arakanese Buddhist Perspective

Andrew Skilton (King’s College London)

Pīti (delight) in ‘pre-reform’ meditation traditions in Thailand: developed tradition in Theravada Buddhism

Stéphane Arguillère (Inalco)

Des visionnaires sans imagination — repenser la philosophie comparée à partir du bouddhisme tibétain : le problème de l’imagination

 Page web de référence

Soutenance de la thèse de doctorat de Naeyoung RYU-PAGANINI (université de Strasbourg) intitulée :

« L’oeuvre de YUN Duseo (1668-1715), peintre lettré coréen à l’époque pré-moderne »

le vendredi 13 octobre 2017 à 14h
à l’université de Strasbourg / Palais universitaire – salle 125

9 place de l’Université  67000 Strasbourg

Jury 
Mme ESCANDE Yolaine, Directrice de recherche, CNRS, EHESS
Mme LEGGERI-BAUER Estelle, Professeur de l’INALCO
M. BRUNETON Yannick, Professeur de l’Université Paris-Diderot (Paris VII)
M. CAMBON Pierre, Conservateur en chef, Musée national des arts asiatiques Guimet
M. MULLER Frank, Professeur émérite de l’Université de Strasbourg (directeur de thèse)
M. MAURUS Patrick, Professeur émérite de l’INALCO (co-directeur de thèse)

Résumé

L’œuvre de YUN Duseo (1668-1715), peintre lettré ayant vécu lors de la dernière monarchie coréenne, reflète la forte sinisation de la société de l’époque. Cette œuvre est un fruit de la civilisation du « monde chinois », et interroge les principes esthétiques et le statut de la peinture dérivés de la doctrine néo-confucéenne, doctrine elle-même ici associée à des doctrines souvent considérées comme opposées, le taoïsme et le bouddhisme.

YUN Duseo invente une peinture « pré-moderne » qui met en valeur de manière nouvelle des figures humaines, les portraits en particulier, et donne une nouvelle forme à des sujets courants de la peinture chinoise, les natures mortes ou les scènes de la vie quotidienne.

La peinture de YUN Duseo, influencée aussi bien par un mouvement de retour aux sources de la culture chinoise que par le contact avec la culture européenne, est étudiée principalement à travers le prisme du rapport entre peinture et écriture.

Mots-clés

YUN Duseo, peintre lettré, peinture « pré-moderne », rapport entre peinture et écriture, art de l’écriture, figure humaine, portrait, nature morte, scènes de la vie quotidienne, monarchie coréenne, sinisation, monde chinois, sources de la culture chinoise, contacts avec la culture européenne, néo-confucianisme, taoïsme, bouddhisme.

 

Pour en savoir plus, consultez le blog « Arts de la Corée ».

Invitation soutenance de thèse

en vue de l’obtention par Madame Ji Young Park des grades de

Docteur en sciences de l’information et de la communication

Philosophiæ Doctor, Ph. D

Diplôme de 3e cycle de l’École du Louvre

J’ai le plaisir de vous annoncer que la soutenance de ma thèse de doctorat en muséologie intitulée :

« Musée national d’art coréen, un dispositif de transmission de valeurs et de connaissances des arts coréens. Analyse muséologique de la mise en exposition de sarangbang aux musées nationaux en République de Corée »

Sous la direction de
Madame Marie-Sylvie Poli (professeure à l’UAPV)

et de Monsieur Bernard Schiele (professeur à l’UQAM)

La soutenance aura lieu

le lundi 23 octobre 2017 à partir de 15h

en Salle des thèses de l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse en visioconférence avec l’UQAM Montréal.

Devant le jury composé de
Joëlle Le Marec, professeure, Université Sorbonne Paris 4-Celsa (Rapporteure)
Jason Luckerhoff, professeur, Université du Québec à Trois-Rivières (Rapporteur)
Éric Triquet, professeur, Université d’Avignon et des pays de Vaucluse (Examinateur)
Yves Bergeron, professeur, Université du Québec à Montréal (Examinateur)
Marie-Sylvie Poli, professeure, Université d’Avignon et des pays de Vaucluse (Directrice)

Bernard Schiele, professeur, Université du Québec à Montréal (Directeur)

Résumé :

Cette thèse a pour but de comprendre la situation communicationnelle des valeurs et connaissances délivrées par un musée d’art en République de Corée. Pour ce faire, nous avons choisi de mener une analyse approfondie d’un type de dispositif expographique de vulgarisation : la restitution d’un sarangbang, proposée par le National Museum of Korea (musée des beaux-arts) et le National Folk Museum (musée ethnographique) de Séoul. Nous abordons ce dispositif comme constituant un archétype paradigmatique des productions architecturales coréennes et comme un condensé de plusieurs problématiques relatives aux arts et aux musées de la péninsule.

Que ce dispositif soit conçu comme un intermède visuel et matériel visant une contextualisation des objets exposés dans une salle d’exposition, ou qu’il soit envisagé en tant qu’objet exposé créé récemment pour l’exposition muséale, la conception et la perception de ce sarangbang au sein d’un musée fait appel à des connaissances scientifiques relatives au sarangbang ainsi qu’à la société et à la culture dont il relève. Il communique également diverses perspectives ayant trait aux arts, aux objets destinés à être exposés, aux supports expographiques et aux visiteurs des musées.

L’étude de concepts tels que ceux de musée national, d’art, de patrimoine confucéen, et l’analyse sémio-pragmatique de la restitution d’un sarangbang par ces deux musées nationaux nous permettent de comprendre la situation communicationnelle produite autour de leur mise en exposition : avec ces dispositifs de sarangbang, les musées transmettent une information qui ne dévoile qu’une partie des faits historiques sans suggérer l’existence de bien d’autres choses. La stratégie de vulgarisation scientifique est uniformisée par des critères subjectifs édictés par l’État dont l’intention politique est de promouvoir les valeurs confucianistes dans la société coréenne et au monde entier. En outre, d’autres stratégies de vulgarisation scientifique portées par des signes iconiques font circuler de faux savoirs visuels sélectivement forgés actuellement par certains muséographes oeuvrant dans les musées d’art.

Mots-clefs : musée national, arts coréens, médiation muséale, sarangbang, dispositif, mise en scène.

La soutenance sera suivie d’un pot dans la salle d’apparat auquel vous êtes chaleureusement invité.e.s.

Ji Young PARK
T. +49 176 3067 4770

Littérature Coréenne – Le numéro 41 (septembre 2017) de la web-revue Keulmadang vient de paraître.
Vous pouvez le consulter en ligne en cliquant ICI.

Graduate School of Korean Studies(GSKS) announces the recruitment of AKS Graduate Fellowship for 2018 Spring as the attachment.

Please read the attachment closely and apply on time.

Online application :

http://portal.aks.ac.kr/Entrance/login2.jsp

 
* Application period : October 12th, 2017 (12:00) ~ November 17th, 2017 (17:00)
(Information can be inserted and saved only during the application period.)
Office of Academic & Student Affairs
Graduate School of Korean Studies(GSKS) announces the recruitment of International Student for 2018 Spring semester as the attachments.
 

Please read the attachment closely and apply on time.

– Online application :

http://portal.aks.ac.kr/Entrance/login.jsp

* Application period : October 12, 2017 (12:00) ~ November 3, 2017 (17:00)

(Information can be inserted and saved only during the application period)
– Please use the attached form for the recommendation letter

Office of Academic & Student Affairs

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Academy of Korean studies Inalco Université Paris Diderot-Paris 7 EHESS