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무릇 소설은 주제가 여러 가지라. 한가지 전례를 들어 말할 수 없으나 혹 정치를 언론한 자도 있고 혹 정탐을 기록한 자도 있고 혹 사회를 비평한 자도 있고 혹 가졍을 경계한 자도 있으며 기타 륜리 과학 교제등 인생의 천사만사 중 관계 안이되는 자가 없나니 상쾌하고 악착하고 슬프고 즐겁고 위태하고 우스운 것이 모두다 좋은 재료가 되야 기자의 붓끝을 따라 재미가 진진한 소설이 되나(…) 화의 혈이라 하는 소설을 새로 저술할 때 허언낭설은 한 구절도 기록치 안이하고 정녕히 있는 일동 일정은 일호의 착오 없이 편집하노니 기자의 재주가 민첩치 못함으로 문장의 광채는 황홀치 못할지언정 사실은 적확히 눈으로 그 사람을 보고 귀로 그 사정을 듣는 듯 하여서 족히 밝은 거울이 될만할가 하노라.
기자왈 소설이라 하는 것은 매양 빙공착영(憑空捉影)으로 인정에 맞도록 편집하여 풍속을 교정하고 사회를 경성하는 것이 제일 목적인 중 그와 방불할 사람과 방불한 사실이 있고 보면 애독하시는 열위 부인 신사의 진진한 자미가 일층 더 생길 것이오 그 사람이 회개하고 그 사실을 경계하는 좋은 영향도 없지 않을지라. 고로 본 기자는 이 소설을 기록하매 스스로 그 자미와 그 영향이 있음을 바라고 또 바라노라.
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De façon générale, un roman peut avoir divers sujets. Il n’est pas possible d’en parler à partir d’un exemple du passé ; certains ont exploré la politique, d’autres ont noté leurs observations, d’autres encore ont critiqué la société ou bien mis en garde contre la famille ; enfin, il n’y en a pas un qui ne soit pas lié aux milliers de questions concernant la nature humaine, telles que l’éthique, la science, les relations humaines ; que ce soit léger ou pesant, triste ou joyeux, dangereux ou drôle, tout peut devenir une bonne matière, capable d’aboutir à un roman passionnant sous le pinceau de l’auteur ; alors que huit ou neuf fois sur dix, il s’agit des vestiges d’un homme du passé ou de choses sans forme ni contenu quel que soit le prétexte, trois romans récents, à savoir La Fleur impitoyable, L’Univers des Fleurs, La Beauté sous la lune, relatent les authentiques exploits de contemporains.
Après avoir recueilli bon nombre de remarques de la part de lecteurs sous le charme, l’auteur commence à présent la rédaction d’un roman qu’il intitule Le Sang des fleurs, toujours à partir de faits réels et contemporains ; au lieu d’accumuler paroles vides et vaines rumeurs, il agence sans la moindre inexactitude des événements qui se sont vraiment produits ; si parce que le talent de l’auteur manque de subtilité, l’éclat des phrases n’est pas enivrant, les faits sont rapportés de façon exacte cependant et donnent [au lecteur] l’impression de voir de ses propres yeux et d’entendre de ses propres oreilles ; voilà ce qui rend [ce roman] digne d’être un clair miroir où le bien se détache du mal.
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