A l’automne 2019 les forces conservatrices sud-coréennes réunies au sein du Parti pour un avenir uni (UFP selon l’acronyme anglais) pouvaient raisonnablement espérer une victoire aux élections législatives du 15 avril 2020. Le Président Moon Jae-in, successeur de Mme Park Geun-hye emportée par une puissante pression populaire en 2017, était alors en position défensive pour au moins trois raisons. D’une part son Ministre de la Justice Cho Kuk, présenté comme un possible prétendant à la prochaine élection présidentielle de 2022, avait été contraint à la démission sur fond de scandale impliquant son épouse, mais aussi d’une délicate réforme du Parquet. Lire la suite sur le site du Asia Centre.
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Jean-Yves Colin, « Le coronavirus sourit au Président coréen Moon Jae-in »
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