Au moment où la France donne parfois l’impression de s’enfoncer dans un débat plus philosophique que pratique sur la mise en place de l’application StopCovid et son impact sur les libertés publiques, écouter ce que disent les responsables coréens à propos de leur propre dispositif n’est pas sans intérêt. Cela l’est d’autant plus que certains observateurs français – ou d’autres pays européens ou nord-américains – sont tentés d’expliquer que les asiatiques et les coréens en particulier n’ont pas la même sensibilité en matière de libertés publiques et de droits individuels. Tel était l’objet d’un nouveau « webinar » organisé à Séoul par la KFCCI (chambre de commerce franco-coréenne) avec la participation du KCDC (centre de prévention des épidémies sous l’autorité du ministère de la santé), du ministère de l’aménagement du territoire, des infrastructures et des transports (MOLIT), de l’opérateur de télécommunications KT et de divers experts et juristes. Lire la suite sur le site du Asia Centre.